Tarif
Entrée libre
Lieu
Programmation
Cataedes
Le 22 avril 2022
Contes en musique
SOCIOPARK experience.
Beats by DRH.
Vocals by ARTAUD.
Experimental hip-hop.
Underground pop.
Sounds.
Visions.
We are hunger.
We are dirt.
We are.
Alliage brut entre spleen éthéré et onirisme, Alpha du Centaure, quatuor lyonnais, propose un post-rock blackgaze tourmenté et soigneusement poli d’une mélancolie débordante.
D'ailleurs Stress
Le 23 avril 2022
Duo bitare-Gatterie
Groupe de Death Metal du grand sud ouest également qui combine influences Death, Thrash, Brutal. Inspiré par des groupes comme Benighetd, The Black Dahlia Murder, Aborted…
TEMPT FATE a eu l’occasion de promouvoir son album « Human Trap » lors de ses différentes tournées en France, Espagne etc. TEMPT FATE revient aujourd’hui avec un nouvel EP intitulé « Hold », avant goût de son prochain album en cours de préparation.
Groupe de Death Metal Progressif de Bayonne aux influences multiples, délivrant un Death Metal puissant et envoûteur. Après deux grosses tournées le groupe continue de défendre son premier album « CALVARY » sorti sur les labels Klonosphere et Season Of Mist en septembre 2018.
Déglingué Black Metal de ver en vice since 2009.
Neige Morte est une obscure entité de Lyon (FR) et Göteborg (SWE), créant une explosion musicale hypothermique glaciale et oppressante. D’étranges et lourds passages atmosphériques se brisent en plongeant l’auditeur à travers des riffs glacés, porté par un Post Black Metal déchirant, au cœur de Neige Morte.
L’esthétique cruelle et nihiliste résonne avec une bonne partie de la production de la scène underground française, tout comme l’aspect expérimental des compositions. Difficile à classer, Neige Morte ne cherche qu’à engloutir l’auditeur dans l’étreinte lente de la mort gelée.
Ces bottes, ils sont deux à les porter : Geoffray Aznar, aux guitares et au chant, Samuel Devauchelle à la batterie. Deux qui sonnent comme quatre ! Parce que Dirty Bootz, c’est la puissance d’une guitare fuzz jouée fort et d’une rythmique âpre, précise, brutalement réglée sur la cadence des chaînes de montage, des roues mordant l’asphalte d’une route oubliée, du vent qui souffle sur les branches d’un chêne vert ou d’un olivier.
Si leur musique pioche dans le vieux blues d’un Skip James ou dans les cris électriques d’un Kurt Cobain élevé au cagnard poisseux de l’Hérault, elle sonne surtout comme le branle-bas de combat d’un duo pressé d’en découdre. Sur scène, les deux cabochards malmènent leurs instruments pour emporter le public en un ailleurs bien à eux, où le crépuscule le dispute au solaire, où le western s’imprègne des relents industriels d’un avenir métallique.