Dirty White Fever + Montecharge + The rooms

« Il y a de tout, chez Dirty White Fever : du rock sans limites, du blues, du noise, le tout à l’abri de l’indigestion. Ça nous colle aux muscles et aux torses, chemises trempées et étoiles plein le cerveau. La claque parfaite pour s’éveiller d’une torpeur quotidienne bien trop encombrante. » (indiemusic)
Originaires de Brighton, ils seront en tournée française fin octobre pour défendre leur premier album « …on the shores of San Salvador », sorti le 21 juillet sur Roadkill Records.

Montecharge, c’est ce bolide qu’on entend arriver de loin, ce puissant V8 qui fait rugir la Mustang, destrier chromé avalant les kilomètres de bitume, marquant l’asphalte de sa gomme, grasse et épaisse. Le stoner développé par le quatuor est rouille et chrome, salace et sexy, chaud et puissant, cuissarde et fouet. L’énergie rocaille et l’envie directe des parisiens vous installera dans cette voiture, à filer droit devant, sous le soleil cuisant de nimporte quel putain de désert…

THE ROOMS est un melting-pot de ROCK résolument British assaisonné d’une sauce à l’américaine. Adepte d’un héritage musical couvrant plus de 4 décennies, ce trio aime se jouer des codes et des étiquettes. Remplissez votre shaker de Strawberry Alarm Clock, ajoutez du President of the USA, un soupçon de Nirvana, un zeste de Jack White et une bonne dose de Cage the Elephant, frappez et passez le tout dans un grand verre. C’est fait ? Bravo, vous avez gagné le droit de secouer la tête !