Tarif
Gratuit
Lieu
Programmation
Extrait interview Adam Wood par VoltBass en novembre 2016.
« Cela date de fin 2010 je crois, j’avais un premier groupe sur Aurillac qui s’appelait Elegant Garage Gunners, qui était plutôt rock 70’s. On a fait ça pendant trois ans et on a arrêté en 2009. Et moi j’avais toujours fait de la musique tout seul à la guitare folk, mais sans ambition derrière, du coup comme je n’avais plus que ça, sans trop y penser j’ai commencé à écrire des chansons. Et un jour à Aurillac, il y avait les micros libres où tout le monde vient avec sa guitare et tout le monde peut jouer, donc j’ai joué des chansons, cela a plu : Adam Wood a commencé comme ça. Au début j’étais vraiment tout seul, j’ai enregistré un premier album, ça a mis deux ans parce que j’étais seul en studio pour faire tous les instruments, donc je découvrais et je tâtonnais. Au final j’ai enregistré 14 chansons, j’en ai gardé 6 pour faire mon premier EP qui est sorti en 2011, « A Forest Behind the Tree ». De là j’ai commencé à faire beaucoup de concerts tout seul, en version folk harmonica ou piano/voix. J’ai beaucoup tourné pendant deux ans. C’est facile de tourner seul parce tu as juste ta guitare et ton sac à dos donc tu peux monter dans n’importe quel train, mais on est vraiment tout le temps seul. Ça a commencé à me travailler, je connaissais Jamie et Yann des Elderberries, on a travaillé ensemble sur un autre projet, on a bien accroché et on s’est dit qu’on allait faire quelque chose d’autre. C’est ce moment où je me suis dit que j’allais recruter un groupe pour Adam Wood : donc il y a Yann Clavaizolle à la batterie, Jamie Pope à la basse, Benjamin Tessier au clavier, qui est le chanteur des Kissinmas aussi et qui joue dans pas mal d’autres groupes. C’est là qu’est née la formule groupe avec laquelle je joue aujourd’hui. Cela fait deux ans qu’on tourne ensemble. Et le papa de Yann, Denis Clavaizolle qui est un producteur bien connu, a un studio à Cournon. Il m’a proposé de venir bosser chez lui. C’est là qu’est né « Hang On », mon premier vrai album, sorti en 2014. Et là on prépare un nouvel album. »
Interview intégrale à lire sur VoltBass.
Avec ses quatre albums solo, il est l’un des artistes les plus insensés de la décennie écoulée. Voix de velours pour mélodies élégantes, l’Américain John Grant imagine, en versions organiques ou électroniques, des chansons atemporelles qui font tourner les têtes et palpiter les cœurs.
Ruppert Pupkin
Derrière ce nom emprunté à un personnage de Martin Scorsese (« La Valse Des Pantins »), se cache une artiste « polytalentueuse » qui, une fois le costume de musicienne et chanteuse endossé, imagine un rock dense et captivant porté par une voix d’une douce puissance. Frissons garantis.
Lionel Fortune
Son nom d’artiste, il l’a piqué au nom d’un de ses groupes. Fondateur du duo electro Abstrackt Keal Agram et tête pensante du quatuor pop Fortune, Lionel Pierres est surtout un mélomane averti et excelle aussi derrière des platines, où il aime laisser libre cours à ses goûts éclectiques.