Tarif
Jeudi: 30€
Vendredi: 34€
Samedi: 34€
Pass 2 jours: 59€50
Pass 3 jours: 71€
Lieu
Programmation
Boulevard des Airs c’est un melting-pot de styles: à la fois alternatif, chanson, reggae, ska, mais aussi rock, punk et latino… Bref une ambiance éclectique explosive ! Repoussant les barrières des styles et des langues. Le chemin qui mène au Boulevard des Airs est pavé de soirs de fête, de petites peines et de poésie, de chansons d’amour et de chansons engagées…
Plus moustachu mais tout aussi explosif, nourri librement des grands maitres du hip hop, du jazz et de la funk, le groove de Deluxe repose sur un très gros basse/batterie, appuyé de platines, guitares, percus, machines et cuivres, cinq musiciens virtuoses pour accompagner la belle Liliboy, chanteuse à la voix suave et détonante… Le groupe prend toute sa dimension sur scène, un mélange totalement jubilatoire !
Après nous avoir enchanté avec ses deux EP « Rythmes & Botanique » et « Des fleurs », Gaël Faye revient avec un nouvel album « Lundi Méchant »
On y retrouvera sa plume subtile et touchante, et des morceaux inédits prêts à nous faire chalouper durant les saisons à venir.
L’auteur de « Petit pays » sera de retour sur scène pour présenter ce nouvel opus, accompagné de Guillaume Poncelet au piano, Louxor aux machines et Samuel Kamanzi à la guitare et au chant.
Leur slogan veut tout dire : « c’est pas nous qui sommes à la rue, c’est La Rue Kétanou ». Ils sont généreux, insoumis, revendicatifs, débordants d’énergie. Depuis 15 ans (anniversaire qu’ils ont fêté le 31 décembre dernier au mythique Olympia de Paris), de leurs rythmes vagabonds alliant musique tzigane, folk, reggae, pop et chanson française, ils embrasent les scènes de la francophonie, y faisant déferler une vague de solidarité et souffler un vent de liberté. À la fois bals de village et grandes manifestations sociales, leurs spectacles sont toujours événement, invitation à s’accrocher à une farandole étourdissante.
Et voilà, ça recommence, il fallait s’y attendre : tout est mélangé. Plus de dix ans que ça dure, depuis La Mécanique du cœur : tout commence avec une histoire qui naît dans la tête de Mathias. Libre à elle de grandir ensuite dans un livre, un disque ou un film. Celle-là sera les trois. Le roman est déjà sorti, l’album est là, et le film suivra. Cette histoire est née en 2016. Dionysos terminait la tournée de Vampire en pyjama, un disque né du Journal d’un vampire en pyjama, ce livre où Mathias racontait sa traversée de la maladie. Pendant que Mathias recommençait à se laisser pousser les idées, la Seine montait. Début juin 2016, c’est la grande crue à Paris. Mathias imagine l’histoire d’une sirène découverte échouée sur un quai, dont tombe amoureux Gaspard Snow, le propriétaire du Flowerburger. Dans cette histoire d’amour aussi maudit que magique, il y a beaucoup de chansons (car Gaspard est chanteur), qui se sont échappées du roman et se retrouvent dans le nouvel album de Dionysos. L’équipage est prêt, dans la salle des machines, les amplis chauffent. Cet album titré Surprisier est une crue de jouvence pour le groupe. Entre les 20 secondes d’intro et le premier morceau Paris brille-t-il ?, un grand vertige, comme un saut dans une spirale spatio-temporelle : nous étions au cinéma, accrochés à nos sièges pendant le générique d’un film qui fait peur, et nous voilà repartis en 93 sur un skate, quand Dionysos célébrait à Valence les joies du folk joué comme du hip-hop, et inversement. Ça fait du bien. Mais Dionysos ne va pas en rester là, à se dérouiller les souvenirs. Si dans la tête de Mathias ce groupe est son Flowerburger, c’est la seule péniche au monde équipée de grandes voiles, poussée par des bourrasques et des surpriseries d’idées, de passion et d’émotion.
Voilà 13 ans que cette joyeuse bande de 8 s’est formée sur les bancs de l’école de solfège à Orthez. Mais quelques 500 concerts plus tard, le mélange est toujours aussi explosif : une recette pimentée de cuivres et de poésie, assaisonnée de textes à la plume joyeuse et mélancolique. Fin mai 2021, Le Trottoir d’en Face sort son dernier album « Con comme la lune », où les notes cuivrées sont une ode à l’amitié, à la fête, à la simplicité et à la joie de vivre !
Les Wampas sont un groupe de rock alternatif français, se réclamant plus précisément du mouvement qu’ils nomment eux-mêmes «yéyé-punk». Formé en 1983 en région parisienne, le groupe repose aujourd’hui essentiellement sur le chanteur Didier Wampas. Les Wampas sont surtout connus pour les textes humoristico-trash ou faussement juvéniles de Didier Wampas, qu’il chante d’une voix parfois à la limite de la justesse.
Bruxellois de 26 ans, Noé Presow a été nommé aux Victoires de la musique, en février dernier, dans la catégorie « révélation masculine ». Son premier album « À nous », engagé et poétique, est très ancré dans notre époque. Avec quelques influences allant de Léo Ferré à Daft Punk en passant par Barbara et Renaud, on y découvre une voix magnétique accompagnée par un flow souvent pulsionnel en résonance, parfois, au rap.
Pour panser ses écorchures, soigner ses maux et dessiner les grands rêves d’une génération, The Doug a choisi une guitare toute nue pour écrire un rap virevoltant autour de la chanson française, où l’on décèle ici et là un jeune Bashung, les premières heures d’un Fauve ou d’un Feu! Chatterton. A tout juste 19 ans, l’introspection et le voyage intérieur sont autant d’inspirations qui nourrissent le jeune Clermontois. Produit par Zicol et l’Épicerie de Nuit, qui ont su saisir cette sensibilité à fleur de peau et préserver ce vrai talent d’écriture, The Doug se dévoile aussi bien sur scène qu’à l’écran, illuminant d’une grâce fragile des clips minimalistes et crépusculaires.