Ces “Extraterrestres” concoctent une mixture mêlant tout ce qui se fait de bien et de décalé dans la musique actuelle. Que ce soit les phrasés énergiques et ironiques d’un rap alternatif, les riffs d’un rock survolté ou les rythmes effrénés de l’électro, tout doit être au service de leur construction musicale qui elle se doit d’être limite déjantée. Vous le comprenez vite le mélange donne quelque chose d’assez spectaculaire qui laisse entrevoir le gros potentiel de la formation.
Savant mélange d’éléctro et de Rock, de rythmiques endiablées et de riffs de guitare. Ce trio évolue dans une atmosphère remplie d’énergie qui enflamme la scène pour le plaisir du public. De la musique pour laisser le son prendre le contrôle des corps !!! Turn off your brain and dance!!!!
Ringišpil Orkestar, c’est une formation composée d’une dizaine de jeunes musiciens altiligeriens issus du Festival des Cuivres du Monastier. Que ce soit avec la musique des fanfares gitanes ou bien avec les musiques traditionnelles et chansons populaires des Balkans, c’est avec une énergie communicative que ces talents tout neufs mais déjà bien rôdés enthousiasment à tous les coups leur public !
Nefertiti in the Kitchen est un duo déjanté, une rencontre entre une chanteuse de rue au tempérament bien trempé et un homme-orchestre barbu. Jen Rival (Cie Bluffonne), Nicolas Méheust (Dominique A, Chien vert, Strupx) et leur joyeux bastringue nous emmène dans un univers forain rappelant les années folles. Entre accordéon électrique, boite à musique, mellotron et autres curiosités, laissez-vous porter dans ce Kabaret punK psychédélique !
Narma & the Walili Beat Brothers c’est un nom à rallonge pour une équipe qui n’en finit plus de grandir, portée par « Narma », la mélodie en arabe. Les Walili Beat Brothers, cette bande de potes et de frangins, se sont rassemblés pour exprimer leurs envies musicales. Tous co-auteurs et compositeurs, ils se donnent le mot sur scène, leur leitmotiv : faire danser et partager leur énergie communicative.
Avec déjà 11 albums à son actif, Martin Nathan multiplie depuis plus de 15 ans les propositions artistiques les plus diverses sous le nom de BRAIN DAMAGE. Considéré comme l’un des fondateurs de la scène dub en France, il y crée dès 1999 le premier live machine du genre. Il alterne les collaborations (High Tone, Vibronics, Sir Jean) avec ses travaux en solo le rapprochant toujours plus des sources mêmes de son style de prédilection. En 2015, la réalisation en Jamaïque d’une partie son nouvel album, et la participation des légendaires Horace Andy, Willi Williams, Winston Mc Anuff, Kiddus I et Ras Michael semblent en témoigner. Pour ce nouvel album « Walk the Walk », l’idée était de faire appel à certains acteurs de la fameuse génération qui a contribué dans Jamaicales années 60/70 à faire ce qu’est le reggae, et par extension, le dub. Se succèdent donc derrière le micro 5 vétérans du style, tous contemporains, mais aux sensibilités et aux parcours totalement distincts. Aujourd’hui toujours superstars pour certains, à l’image de Horace Andy, à la voix reconnaissable entre mille et coutumier des collaborations avec Massive Attack, un peu oubliés pour d’autres, comme Kiddus I, qui fut pourtant le héros d’une scène clé du film culte « Rockers » en 1978, tous ont suHarry J Studio Sessions garder leur talent intact. C’est le cas de Willi Williams, auteur de l’intemporel hit « Armagideon Time » repris par The Clash comme par tant d’autres, mais aussi de Winston Mc Anuff, qui ne cesse encore à l’heure actuelle de nous étonner par ses collaborations avec des artistes français pourtant si éloignées de l’univers reggae (Camile Bazbaz, Fixi). Enfin, le doyen Ras Michael, qui fût pendant tant d’années l’un des ambassadeurs des traditions Nyabinghi à l’échelle internationale, continue de nous sidérer par ses interventions vocales empreintes de tant de spiritualité, et son jeu de percussion unique. Tous ont su, le temps d’une session studio se fondre à l’univers musical proposé par Brain Damage, et se prêter également à l’exercice de style suggéré par l’artiste : écrire la majorité de leurs textes sur le thème de leur enfance, l’enfance, la jeunesse, et l’éducation. Le résultat de ces collaborations est unique, constitué d’un mélange de maturité et de fraîcheur dû sans doute à l’ouverture d’esprit et au talent de chacun des protagonistes.
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