Tarif
30€ Réduit
38€
Lieu
Programmation
CABBAGE
Un air de déjà-vu ? Peut-être… Mais c’est entre autres pour cela qu’il faut s’intéresser de près à Cabbage, cinq garçons échappés de Mossley, une banlieue de Manchester (on y vient). En deux ans, ces jeunes gens se sont montrés d’une rare prolixité, multipliant les EP (dont certains sont compilés sur Young Dumb And Full Of…) et les concerts. Querelleurs, engagés et peut-être légèrement azimutés, ils déclinent un rock tarabiscoté d’une rare densité et marqué au fer rouge, que résume à merveille le titre de leur premier véritable album, Nihilistic Glamour Shots.
Sigrid
Avec une telle voix, elle ne pouvait pas ne pas trouver sa voie. Dès un premier EP sorti en fin d’année dernière, la prénommée Sigrid (Raabe de son nom de famille) a su séduire critiques et public, entre autres grâce à Don’t Kill My Vibe, une épique ballade pop électrorganique. Qu’elle choisisse un registre intimiste (la délicate Dynamite) ou vise les dancefloors (l’irrésistible Strangers), cette jeune Norvégienne âgée de seulement vingt-et-un ans excelle déjà dans l’art d’écrire des refrains entêtants qui collent aux tympans, destinés à être repris en chœur. À vous de chanter maintenant !
Kid Francescoli
Ce Kid de Marseille n’en est plus vraiment un et sait, mieux que certains, qu’on ne vit sans doute que deux fois. Car pour Mathieu Hocine, qui se cache depuis 2002 derrière ce nom en hommage au footballeur uruguayen Enzo Francescoli, il existe un avant et un après : celui de sa rencontre (amoureuse, musicale) avec l’Américaine Julia Minkin et les États-Unis. Le compositeur autodidacte va insuffler pas mal d’electro dans sa pop bien troussée et multiplier les projets (Husbands, entre autres) qui vont lui élargir les idées. Depuis, deux albums ont paru – « With Julia » et « Play Me Again » –, succès critiques et populaires portés par des chansons faussement badines et vraiment taquines.
Kiol
Tombé dans la marmite du rock, du roll mais aussi du blues, du folk ou de la soul dès son plus jeune âge – à cinq ans, il jouait déjà de la batterie–, l’Italien Alessandro Bossi, alias Kiol, est de ces artistes qui illustrent parfaitement le dicton « la valeur n’attend pas le nombre des années ». À tel point que pour la deuxième année consécutive, Europavox n’a pas hésité une seconde à l’heure de convier à nouveau à l’affiche cet héritier de Paolo Nutini ou Jake Bugg, dont la voix de velours habille avec élégance des chouettes chansons aux vrais airs de classiques miniatures.