FRANCOIS VIROT
François Virot ressort du bois et nous refait le coup du doublé fantastique. Après le troisième album de Clara Clara (Bugarach), plus pop chatoyant que jamais, retour à la sobriété pour un deuxième album solo qu’on n’avait, malgré tout, jamais cessé d’attendre. Un disque qui est à la fois un condensé laidback de sa discographie, une actualisation de ses obsessions (batteries truculentes, mélodies catchy-mais-vicelardes, télescopage référentiel – Police vs. The Ex vs. Joe Dassin ?), et une déclaration de non-allégeance aux lois indie actuelles.