On trouve plein de chroniques sur le net, tu as du certainement le croiser en solo maintenant qu’il est célèbre il s’est fait de nouveaux amis, il sera donc entouré de deux autres garçons en mode power trio.
J’aime bien la description de Corndogs : « Jessica 93 a beau se donner des faux airs de Britney Spears des banlieues grises pour égayer sa morne existence, elle ne sait ni comment remuer ses fesses ni comment s’amuser. Ses rythmiques déshumanisées n’évoquent rien d’autre qu’un spectre oublié au fond d’un local à poubelle. Les riffs de basse et de guitare plaqués par-dessus iront déterrer telle une longue vis rouillée la déprime la plus poisseuse et jouissive que votre cervelle ait pu abriter. Dance-machine grunge et tubes ultra-addictifs. »
Du tribal – punk – industriel – techno, et des chansons d’amour.
Extrait de la bio sur le site de born bad :
« Usé », son projet solo depuis 2011, sort aujourd’hui un album sur Born Bad, Chien de la casse. Sur la pochette, un van poussiéreux dans le demi-jour d’église d’une grange abandonnée, et des clébards résidents rassemblés à la hâte : rien n’est inventé. Pourtant, les couleurs sont chaudes, l’ambiance est détendue. Pas de misérabilisme. On envie presque celui qui, au centre de l’image, a la chance de se livrer quotidiennement à cette joie enfantine qui consiste à taper le plus fort possible, sur n’importe quoi, dans un lieu vierge au milieu des animaux. La musique d’Usé ressemble à cette free-party que l’on a cherché dans une nuit épaisse comme du goudron, au cœur de la forêt, en se fiant au grondement sourd qui semblait émaner du sol : sauvage et agressive, mais aussi familiale, accueillante, touchante dans son dépouillement. Plaisir d’abdiquer devant la toute-puissance de la transe, jouissance régressive des tambours qui foutent le bronx, ritournelles légères, entêtantes, textes rythmiques comme un poème Dada : tant pis pour demain, quand il fera jour, car tout ici tremble d’une excitation qui ressemble à la vie, et que l’on ne trouvera pas ailleurs.
Il y a sept titres sur Chien de la casse, dûment introduits par les grognements mauvais d’un bâtard ivre de haine, probable cerbère d’une caravane de dealer de meth dans l’Indiana. Sur six morceaux, Usé semble écrire une ode aux entrées par effraction dans les décharges pour aller cogner sur des bidons rouillés jusqu’à les crever. Seule « Sous mes draps » relève de la comptine triste, mais quitte toutefois les terres du réalisme social pour les hauteurs brumeuses du film d’horreur de fête foraine. « C’est si lisse » conclut l’album sur une alarme à incendie et des aboiements humains, dans une ambiance de messe noire saturée de backward tapes : le rêve prend fin dans le chaos, c’est bientôt le jour. La vraie violence commence. On se voit au squat’ la semaine prochaine.
Quand des mec de la scène bordelaise gravitant autour de lonely et autre entité garage cold psyché taché de vinasse s’en prennent méchamment à des clavier analogique pour entonner des marche EbM éthylique méchamment arroser.
Pour danser comme des débiles et ne pas se prendre au sérieux !
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