LADY FUEL
Formé en 2010, LADY FUEL se constitue rapidement un solide répertoire de compositions aux accents rock british mélange d’influences vintage et actuelles. Le groupe enregistre dans la foulée en deux jours son premier EP « Insectization ».
En 2011, LADY FUEL déploie son énergie live sur une série de concerts. Le groupe fait notamment des apparitions remarquées sur les scènes du Lacanau Pro ou du Palais des Sports de Lyon. Il ira même jusqu’à se produire dans des prisons et se verra par ailleurs cité dans « L’anthologie du rock féminin » du journaliste rock Jérome Albérola.
L’année suivante, LADY FUEL se lance dans la préparation de son nouvel album. L’enregistrement de « Pleasure Room » est réalisé en une semaine mixage compris en avril à Palissy Studio à Clermont Ferrand.
Mais LADY FUEL vibre avant tout avec la scène puisque de nouveaux concerts sont rapidement au programme. Le groupe est retenu pour les festivals Salers on the rock, Moto and Tattoo au Parc des expositions de Tours et pour la tournée Rock on the Beach du Tour de France à la voile.
Après le « Pleasure Tour » qui les a menés en France avec des premières parties comme celles de Little Bob et Mass Hysteria et Sidi Larsen au Bol d’Or, et à la conquête de l’Angleterre dans le cadre du « Pleasure UK Tour », LADY FUEL est remarqué par le label LGSR qui décide de produire leur album suivant qui sera enregistré au grandiose Sphere Studio sous la direction de Mathieu Marietti (Studios de la la Seine).
Les 4 musiciens donnent libre cours à leur créativité et leurs délires pour livrer 13 titres qui repoussent les limites de leur monde musical et cassent leurs codes usuels. C’est l’album « Mean Genie » offrant un rock libre et généreux.
Une nouvelle tournée à travers la France et l’Angleterre s’en suit, initiée par une présentation à La Puce à l’Oreille à Riom, jusqu’au Lacanau Pro et le Satellit Café à nouveau, en passant par Londres, Nottingham, Wakefield, Bolton, Evesham, Neath ou encore le festival d’Ilfracombe…
LADY FUEL a le plaisir et l’honneur de se voir cité dans l’ouvrage de l’écrivain Pascal Pacaly « La France est rock » aux côtés d’illustres ainés, signe d’une reconnaissance qui fait chaud au cœur.
Et le meilleur est à venir…