Les artistes auront 20 minutes chacun pour séduire le public et surtout le jury afin de se qualifier pour l’étape suivante : le festival des lauréats à la Gaîté Lyrique à Paris, du 29 au 31 mai.
Tarif
Gratuit
Invitationà retire sur Digitik
Lieu
Programmation
COMAUSAURE
Ce jeune passionné a rejoint le Collectif Classical, fondé par la tête montante de la scène électronique européenne Mr Nô. Très cinématographique et très ambiancée, la musique progressive electronic de ce jeune clermontois vous fera voyager. Principalement influencé par des groupes tels que Moderat, The Cure et Mogwai, il puise aussi son inspiration dans d’autres genres de musique.
Ce jeune quintette clermontois aux influences notables comme Neil Young ou Beach Boys, vous fera découvrir son cosmos pop folk inspiré par l’univers nordique et les légendes islandaises. Embarquement immédiat dans le vaisseau Electric Palace pour la Galaxie musicale Jolakottur !
MONSIEUR MARTIN
Ted l’Afro s’efface, pour un temps, et laisse le micro à son nouveau personnage : Monsieur Martin. C’est lui qui va prendre soin de porter la plume dans la plaie. Ce personnage de fiction, c’est moi, c’est vous, c’est eux. Un monsieur tout-le-monde que l’on croise chaque jour, sans jamais lui porter attention. Monsieur Martin n’est personne mais peut-être n’importe qui. A lui seul, il est le miroir d’une société, où les contradictions le disputent aux ambiguïtés.
HILL VALLEY
Même s’ils se sont inspirés du film « Retour vers le futur » pour trouver leur nom (Hill Valley est le nom de la ville fictive où vit Marty McFly), la musique de ces clermontois n’a rien de nostalgique. Ces fous d’indie rock aiment l’Amérique électrique des Foo Fighters, l’Angleterre dansante de Foals ou la pop discothèque des Irlandais de Two Door Cinema Club. Un groupe moderne donc, qui prend toute sa dimension sur scène !
THE BLUE DEVILS
Une tessiture d’abord, d’une gravité dramatico-sensuelle, saisissante de contraste avec la gracilité du personnage. Puis une guitare au service de compositions avec juste ce qu’il faut pour voir défiler les rues de Nashville, les steppes d’Asie Centrale et autres images d’Epinal dès que l’on ferme les yeux. La Grande Evasion donc, avec ce « je ne sais quoi » de poignant qui vous étreint la poitrine, le cœur s’arrête et s’emballe à la fois… C’est ce qu’il nous offre à chaque fois.