Tremplin du festival :
– Black Soil
– La Petite Ville
– Chapakuaï
Tarif
1 soir : 20€
pass week-end : 35€
Lieu
Programmation
La Petite Ville
La Petite Ville, c’est un collectif Hip-Hop Auvergnat parti en 2012 d’un groupe du Puy-en-Velay: la French Hope. Plusieurs MCs, un beatmaker, un dj, de l’imagerie et du textile,Le crew est sur tous les fronts.Après avoir joué sur des scènes avec Afu-Ra, Espiiem, Al Tarba,Ils sortent leur première mixtape « LPV » en mars 2014 à l’occasion de leur concert à la Coopérative de Mai. Le collectif ne souhaite pas s’arrêter en si bon chemin, annonçant déjà 3 autres nouveaux projets à venir dans l’année…
Ils aiment le monde, la musique, et accepte toutes les influences même les plus exotiques. On trouve chez eux des traces, des empreintes de Ska, de Reggae, de guinguette, de folklore de l’Europe de l’est ou d’Amérique du sud, de punk, de rock.
Le tout distillé dans une ambiance festive
JLB Riddim
Festif, engagé, dansant, autant d’adjectifs pouvant décrire JLB Riddim.
Fondé en 2008 par Thomas Jakubczyk, le groupe a beaucoup évolué avant de finalement trouver son style : un reggae énergique et dansant. Si le reggae constitue le fil conducteur, JLB Riddim ne se limite pas stricto sensu à ce genre musical : du ragga au ska en passant par des rythmes traditionnels africains ou encore des chants folkloriques, le groupe peut se targuer d’une diversité musicale certaine et pleinement assumée.
Il n’est jamais trop tard pour s’estimer heureux et faire confiance au lendemain. Voilà, dans les grandes lignes, ce que résumera le profil de l’œuvre de Debout sur le zinc le jour où leurs textes figureront aux programmes des épreuves littéraires. Et ses refrains avec, oscillant docilement entre les bras câlins de la chanson et du rock anglo-saxon.
Depuis plus d’une décennie Les Fatals Picards, groupe incontournable de la scène rock hexagonale, n’ont pas leur pareil pour réveiller le facétieux « blouson noir » qui est en nous. Coupables de plus d’un millier de concert, l’humour est un ingrédient majeur de leur succès. Ils en usent sans modération pour parler de choses aussi sérieuses que l’homophobie, le chômage, l’immigration, la malbouffe, Bernard Lavilliers ou encore de la meilleure manière de faire l’amour à la française. Show devant !
Ces “Extraterrestres” concoctent une mixture mêlant tout ce qui se fait de bien et de décalé dans la musique actuelle. Que ce soit les phrasés énergiques et ironiques d’un rap alternatif, les riffs d’un rock survolté ou les rythmes effrénés de l’électro, tout doit être au service de leur construction musicale qui elle se doit d’être limite déjantée. Vous le comprenez vite le mélange donne quelque chose d’assez spectaculaire qui laisse entrevoir le gros potentiel de la formation.
Comme de nombreux groupes de rap, les membres d’Assassin se sont retrouvés au milieu des années 80, parmi tous ceux qui ont assisté et participé aux prémices de la culture hip hop, du tag, au rap en passant par la breakdance… Chaque week-end, un certain nombre d’entre eux se retrouvaient aux portes de Paris et organisaient des fêtes underground sur l’exemple de leur grand frère américain Grandmaster Flash.
musique.rfi
Du Blues des années 20 au Hip Hop des années 90, il n’y avait qu’un pas à faire.En 2010, SCARECROW innove et impose son Blues Hip Hop dans le champ musical français.Préférant déranger que de s’aligner, le groupe porte une musique nouvelle et indépendante, grâce à une équipe soudée, comme une réponse au déclin de l’industrie du disque. Suivant leur propre route, guidés par l’épouvantail qui les représente, ce quartet improbable sonne le glas de la musique ingrate et rend aux mouvements fondateurs le respect qui leur ai du, out en contournant les codes…Pas de recette miracle, juste 4 gars venant de nulle part, à l’unission. Sur trame de fond du groove enivrant du basse/batterie de Jamo et le Pap’s; Slim Paul, le guitariste/bluesman, et Antibiotik, le scratcheur/rappeur, confrontent les générations, mêlant deux langues, deux cultures et deux instruments que rien n’attirait.