Gi-lo
GI-LO est le nouveau projet solo techno/indus de Loren du duo Bracco, le musicien explore notre relation à l’environnement physique et la signification culturelle des techniques de productions industrielles.
Le 24 mai 2025 à 20H30 Autres concerts à la même date
Bass Music, Break, DJ, Dubstep, Électro, Industrial, Noise, Techno, UK Garage
GI-LO est le nouveau projet solo techno/indus de Loren du duo Bracco, le musicien explore notre relation à l’environnement physique et la signification culturelle des techniques de productions industrielles.
MondoRiviera est le pseudonyme de Lorenzo Camera, musicien et artiste visuel originaire de Ravenne. Sa musique se situe à la croisée des pistes entre bandes originales de films d’horreur, synthèse modulaire 2D et plunderphonics new school. Associé à la nouvelle scène musicale italienne du Cinquième Monde, il a sorti plusieurs albums sur le label italien Artetera ainsi que sur Pacific City Sound Visions de Spencer Clark. La musique de MondoRiviera se distingue par sa virtuosité naturelle, rendant son univers sonore moderne mélodieux et composé en direct. Son nouvel album, Garuda Bikers, est disponible sur Pacific City Sound Visions.
« Construire un monde » est une expression trop simple pour décrire l’œuvre de Spencer Clark. Depuis l’hypnagogie déchiquetée de son duo The Skaters avec James Ferraro, le Californien d’origine ouvre des brèches dans des dimensions que l’on ne trouve généralement que dans les brochures sur les hommes-lézards ou au rayon occulte des vieux magasins de VHS. Contrairement à la musique new-age parfois évoquée par les albums de Clark, sa vision de l’utopie s’inspire davantage des paysages extraterrestres de Jon Hassell que des cristaux ou de l’encens. Comme son ancien camarade de groupe, Clark est ancré dans le psychédélisme de la pop culture plastique, mais là où Ferraro a passé les années 2010 à plonger dans le vide de la stérilité des smartphones, Clark a emprunté une voie plus colorée. En assemblant des souvenirs d’enfance de somnolence au zoo de San Diego avec des rêves à moitié oubliés de kitsch de curiosités des années 80, Clark crée des monstres de Frankenstein de synesthésie collagiste et tropicale comme rien d’autre dans la musique noise.