Un nouveau concert « Jazz à la Coopé » autour de deux formations tout simplement incroyables.
Tarif
25 €/ 21€ /17€
Lieu
Programmation
Moutin Factory Quintet
François Moutin – contrebasse, composition/Louis Moutin – batterie, composition/Jean-Michel Pilc – piano/Emmanuel Codjia – guitare/Christophe Monniot – saxophone alto.
La pulsation cardiaque des frères Moutin est à ce point synchrone, que leur musique semble émaner d’une seule et même personne, d’un seul et même souffle. ils ont produits un jazz raffiné qui transpire la générosité et la sueur par tous ses pores.
Le Moutin Factory Quintet, créé par les « jumeaux du jazz », François Moutin et Louis Moutin, a évolué en 2015 avec l’arrivée au sein du groupe d’un partenaire historique des frères Moutin, l’extraordinaire pianiste Jean-Michel Pilc, au jeu puissant et inspiré.
Avec cette équipe renouvelée, la musicalité et la sonorité du quintet se sont enrichies, approfondissant lyrisme et inventivité. Entre les personnalités du saxophoniste Christophe Monniot , acrobate du poétique, du guitariste Manu Codjia, alchimiste du sensuel, et de ce trio piano-basse-batterie à la créativité unique, l’alliance est passionnante. Elle ouvre sur des espaces de beautés subtiles, raconte des histoires où se transmettent la poésie, l’amour et la transe de la danse.
Blackstone Orchestra
Blackstone Orchestra : le nom évoque les fruits volcaniques de notre douce en tendre région tout en faisant songer à un ailleurs mythique. Franck Pilandon, chef de la bande, explique: « L’orchestre est composé de musiciens qui sont tous du coin. Mais on a choisi un nom anglais parce qu’on partage une culture qui est celle de la musique noire américaine ».
Eh oui, comme le dit le saxophoniste, Blackstone, c’est un big band bien de chez nous, de l’auvergnat pur jus! Un condensé de la scène jazz clermontoise qui a décidé de se réunir pour former ce projet. Une formation qui ne sera pas sans rappeler la scène jazz américaine des années 60!
Cependant, Franck Pillandon met les points sur les i : « On n’avait pas envie de faire du jazz new yorkais, et de toute façon on n’y serait pas arrivé, parce qu’on n’est pas à New York. » Ce qui sort des bignous du Blackstone Orchestra n’est donc pas d’un style vu et revu depuis les 60’s. Nos musiciens auvergnats aiment « le mélange, le dérapage, la surprise », ils ont donc créé leur propre style, entre hommage et pied de nez aux traditions.