Nouveau Western

17H30 – La Jetee Clermont-Ferrand

Avec 162,000 spectateurs et 3200 professionnels présents, le Festival du Court Métrage de Clermont-Ferrand est la plus importante manifestation cinématographique mondiale consacrée au court métrage. A l’occasion de Nouveau Western, on vous propose une sélection de films haute en couleur, avec de la musique, de l’humour, des squelettes, un peu de cul, des zombies et de l’absurde dedans.

20H30 – Le Bikini
Clément Fabre rêve de grands espaces glacés, de cavalcades dorées sur la route du Klondike. Après avoir été guitare héros hurleur dans Araban puis collaborateur pédestre et musical de feu Leopold Skin, il crée Dempster Highway un soir d’hiver 2010 et sort un EP en or massif, We sail le 27 novembre au dépouillement luxuriant, à la voix racée, à l’énergie épidermique, comme si une armée de renards bramait dans un épais brouillard le tout chez les orfèvres couturiers de Kütu Folk Records.

18H – Spliff
Né près du Havre en 1990, Théo Gosselin est un photographe français connu ses multiples roadtrips autour du globe. Une jeunesse en quête de liberté et d’une vie différente bercée par des valeurs ou l’humain et la nature sont les éléments clés. Il recherche la beauté dans les grands espaces, et dans le coeur des personnages rencontré tout au long de la route. Son nouveau livre « Sans limites » est disponible depuis le printemps 2015.

21H – Le Poco Loco
XiXA s’inscrit dans un nouveau courant d’artistes américains qui puisent leur inspiration dans leur propre généalogie et dans une généalogie inventée. Les musiciens d’origine latine sont particulièrement fascinés par les racines sud- américaines, mais leur démarche n’est pas profondément différente de celle d’un Beirut ou de Vampire Weekend. Que ce soit la Chicha, la musique des Balkans ou la musique Africaine, ces artistes s’inventent une nouvelle identité en empruntant des références venues d’ailleurs.

21H – Le Poco Loco
En une décennie à peine, les 5 membres du groupe The Elderberries sont passés du statut de « rookies » à celui d’ »artistes reconnus ». Leur crédo : jouer une musique dont la sonorité sonne furieusement seventies. Maintenant fini la déconne, avec 3 guitares, on triple les watts, mais aussi la sueur. The Elders marqueront à coup sûr les mémoires, lorsqu’on se rappelera de la première édition de ce festival.

21H – Le Poco Loco
Auteur/Compositeur/Interprète, ce jeune musicien de 23 ans s’inspire de modèles tels que Hank Williams, Townes Van Zandt, Blaze Foley ou encore le plus connu d’entre eux : Johnny Cash. Les compositions touchantes de ce clermontois s’écoutent les yeux fermés, pour ainsi voir apparaître des images poétiques en grand nombre. Ses confessions musicales mettent du baume au coeur et à l’Âme, elles résultent d’un dosage équilibré de Folk, de Country et parfois de Bluegrass, produisant des mélodies et des balades sur lesquelles il plaque une voix de crooner suave et chaude.

20H – Le Poco Loco
Trio formé en avril 2010, Wall of Death impressionne. Puisant leur inspiration autant dans les racines du psychédélisme américain qu’anglais, les parisiens nous transportent dans une même chanson du désert de la death valley, aux bocages des côtes britanniques. Déluge de guitare, batterie lourde, claviers trippés, des titres vibrant, pour une ode au jour naissant qui serait célébrée par des moines sous acide. L’orgue vintage Farfisa sur cabine Leslie, les synthés spaciaux de Brice, et la 12-cordes Burns martelées par Gabriel sont devenus autant d’armes de destruction massive aux mains du jeune groupe.

20H – Le Poco Loco
C’est en 2010, que le jeune Adam Wood se lance en solitaire, exploitant ses talents de multi-instrumentiste.Il écrit, joue de quasiment tous les instruments, enregistre et produit lui-même, en totale indépendance. Adam Wood transgresse la folk au bénéfice de boogies tendus et électriques. Sa voix douce-amère dompte des grooves incandescents. Les mélodies sont propulsées dans des ciels orageux où s’ébrouent habituellement Neil Young ou Midlake.

20H – Le Poco Loco
Vincent Dupas joue sous le nom de My Name Is Nobody depuis 2003. Son grognement distinct et intelligent est la réflexion d’années passées à découvrir les musiques folks et indés nord-américaines, et ses chansons en sont riches et profondes. Depuis toujours, son songwriting est marqué par des contorsions colorées, belles et fascinantes de la langue anglaise et aborde le combat ordinaire d’être humain avec humour et sincérité….

Puy des Gouttes,Orcines, Auvergne, France
Nouveau Western vous propose un rendez-vous unique à 1200 mètres d’altitude, le temps de l’ascension d’un cratère millénaire, à travers les forêts, les sources naturelles et les parcs à mouton, à flanc de volcan. Vous surmontrez les crêtes, atteindrez les sommets, pour découvrir et contempler un panorama sans pareil sur la Chaîne des Puys, et prendre un grand bol d’oxygène au coeur de l’Auvergne sauvage, à quinze minutes de la ville.

18H – l’Ambassade américaine
Après des études en hypokhâgne et khâgne à Clermont-Ferrand, Cécile Coulon poursuit des études de Lettres Modernes. Outre son goût prononcé pour la littérature, de Steinbeck à Luc Dietrich, Nathalie Sarraute ou Marie- Hélène Lafon en passant par Tennessee Williams, Stephen King ou Prévert, elle est aussi passionnée de cinéma – Pasolini, Larry Clark, John Waters, … et de musique – Elvis Presley, Jerry Lee Lewis, Chuck Berry, The Ramones, …

18H – l’Ambassade américaine
Louis Aguilar a commencé à écrire des morceaux dès l’age de 15 ans et du haut de sa vingtaine c’est déjà un « vieux loup de la folk ». A son actif, des concerts en France et aux Etats-Unis et déjà trois albums d’une stupéfiante maturité. Louis, souvent accompagné de « The Crocodile Tears » nous embarque dans une folk ténébreuse,apprivoisant des ambiances nostalgiques, tout en gardant une dimension positive. Les mélodies conjuguées à la voix caverneuse de Louis font vibrer l’âme, livrant un univers mélancolique dans lequel on se sent bien et qu’on n’a plus envie de quitter.

18H – l’Ambassade américaine
Echappé du rock à haute tension de Chokebore,l’Hawaïen Troy von Balthazar apaise ses écorchures avec des mélodies miraculeuses.Cet immense songwriter tapi dans l’ombre préfère l’urgence et l’inconfort pour sonder ses propres fissures. Constamment tiraillé entre le bord de la falaise et le haut des cimes, sa musique appelle une foule d’oxymores, comme doux-amer ou clair-obscur.Troy déploie une délicatesse et une fragilité proportionnelles à la fureur rugueuse de son groupe d’origine.

Troy Von Balthazar – Live in Paris from mowno on Vimeo.