Tour à tour envoutante et entêtante, cette nouvelle pièce de trente trois minutes d’un post-krautrock aux accents industriels et aux allures de musique rituelle naît de l’interaction d’un drone et d’un rythme évoluant côte à côte, se croisant, se mélangeant et se répondant avant de disparaître. […] Spelterini concilie la rigueur rythmique et texturale des post-rockers autrichiens de Radian aux incantations électriques régressives des américains de Mosquitoes et signe une pièce époustouflante évoquant un étrange rituel dans une centrale électrique.
(Christophe Taupin, à propos du disque ci-dessous)