Electric Palace #J8

Le 12 février 2016 Autres concerts à la même date

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electric palace

Adèle Coyo

Chanson

Avec sa voix claire et sensuelle, la chanteuse nous invite à la suivre dans un monde singulier et bucolique. A l’âge où certaines jeunes femmes se plaisent encore à rêver au Prince charmant, elle fait preuve d’une maturité rare, nous proposant de partager une vision de la vie où les valeurs prennent une importance de premier ordre. Sans être passéiste mais avec tout de même un soupçon de mélancolie, les textes évoquent les séparations, les nouveaux départs, la quête d’un ailleurs où tout semble merveilleux, où l’on peut vivre en paix, jouissant d’un environnement apaisant, remontant la vie à contre-courant pour échapper à la trivialité et aux tumultes du quotidien. Pour servir ses textes, Adèle Coyo n’a pas voulu être en rupture avec l’univers artistique qu’elle a peu à peu construit avec ses musiciens. D’un commun accord, ils ont conservé la base pop aux accents folk, que l’on retrouvait déjà l’album sur L’Heure Bleue.

Tact

Alternative Rock

 » Depuis quelques années lunaires, Tact agite la sacro-sainte pop et secoue le mythe rock’n’roll à grands coups d’harmonies vocales sixties, de riffs malins tantôt isoélectriques tantôt acoustiques, sur fonds de nappes synthétiques, naviguant entre le psychédélique 70’s et le dancefloor 90’s. A l’instar des irréductibles gaulois, le trio est tombé dans le chaudron de potion magique quand il était petit: résultat, Tact se transforme en une machine à tubes dès la première gorgée de bière avalée. Et le moins que l’on puisse dire c’est que les 3 garnements ont de la bouteille ( je sais elle est facile). Immanquable et perméable, suspecté et insoupçonné, assister à un concert est la voie royale vers l’adoption, celle d’un groupe attachant et lumineux. » (VOLTBASS 2015).

ST4LK

Électro

« La lumière ne brille qu’en présence d’obscurité. » (Francis Bacon)
C’est bien là que vient se positionner le travail de Stalk, avec des compositions parfois douces ou sombres, le musicien se place à la frontière du coté obscure de la ville et de l’humain tout en conservant des flash salvateurs… Songe électro-épileptique et trip glacial, les guitares loopées à la Tim Hecker viennent se mêler à des sons électroniques penchant vers les terribles Burial ou Lorn, allant des rêveries de l’electronica en passant par les méandres du deep dubstep.

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