Festival MécaZik #3

« Ta vie sera plus moche que la mienne » Dans ce « conte moderne pour adultes », Didier tente d’interpréter une quinzaine de personnages tout en restant accompagné de ce qui reste de sa guitare… Comme vous le savez, quand un spectacle est bon, il est inutile de se casser la tête pour trouver un excellent titre. D’ailleurs, ce nouveau spectacle a bien failli s’appeler « Didier super mange du cheval » ou même tout simplement « Didier super, nouveau spectacle ».L’important pour nous, c’est que la marque, (DIDIER SUPER), continue de toujours mieux vous satisfaire, vous tous, qui en êtes réduits à devoir payer pour rire, tant votre vie est triste, et nous vous en remercions. Vous verrez que ce nouveau produit a été spécifiquement calibré pour sortir le consommateur de son ennui à raison d’un rire toutes les secondes environ. En effet, chaque gag a été réalisé avec le seul souci de vous offrir un recul nécessaire quant à vos tracasseries quotidiennes qui n’intéressent personne. De plus, ce nouveau produit théâtral est totalement original dans ce sens qu’il conjugue à la fois qualité artistique et accessibilité (au peuple). Ainsi, le public de qualité verra son estime de soi « brossée », tandis que la plèbe se verra « éduquée ». Soyez certains que dans cette gamme de prix, les autres trucs sont moins biens.

Brain Damage, avec déjà 11 albums à son actif est considéré comme l’un des fondateurs de la scène dub française.
En 2015, le producteur présentait Walk The Walk constitué de 10 chansons originales, composées en collaboration avec les légendaires Horace Andy, Willi Williams ou encore Winston Mc Anuff. En octobre 2016 est sorti le second volet du projet : Talk The Talk. Un opus profond, authentique, aux parfums roots compilant les versions dub de l’album précédent introduits vocalement par Father Wee Pow, le créateur de l’incontournable sound system jamaïcain Stone Love.

Groupe de rock avec une petite touche d’accordéon, Les Clébards parcours les routes de troquet en troquet et de salle en salle depuis 2006. Si tu aimes les histoires de trottoirs, de bistrots et de démangeaisons passagères, tu vas kiffer à t’en taper le cul au plafond !!!

C’est à la croisée des bars que Les Rodriguez sont nés. Adossés au comptoir des textes plus fous les un que les autres ont vu le jour et ont fait resurgir en eux leur côté punk. Groupe atypique à découvrir en live ABSOLUMENT !

Reprises déjantées, chorégraphies improbables, mouton cornemuse, Gros corps malade le roi du slam, assassinat de Michel Sardou…
Une heure de concert spectacle à la sauce rock n’ roll ponctuée par les interventions de “Slow-B” le front man et des désormais légendaires OPIUMETTES, contraintes de prendre le micro et de flirter toujours plus avec la nudité pour défendre leur place sur scène !
Gilles de la tournante le guitar’ blaireau, Machine le batteur fou et roux, Rocco si Francis et “K” le bassiste autiste, autant de personnages et de personnalités attachants pour un show drôle et déconcertant..

L’injonction désuète « Tu fais vraiment NAOUACK ! » prend une toute autre tournure et même un renouveau avec ce groupe « Comédie Rap » s’insurgeant sourire béant en mettant leurs fantaisies au service de la triste réalité. Ils produisent une musique à scander, à danser ou à débattre en faisant entrer le rap dans des contrées ou personne n’avait jamais encore empoigné un micro.
Ces 3 Clermontois ont déjà sillonnés la France, la Belgique et la Suisse avec 240 concerts et 2 EP en 5 ans ! Ils nous reviennent en ayant franchi le cap de la singularité artistique avec ce 1er Album « TROP BIEN MAIS TROP COURT » qui est sorti en Mai 2018.

17h30 – Belfour, c’est une toile lumineuse qui se tisse entre la voix aérienne de Lucie Mena et les guitares envoutantes de Michael Sacchetti. Deux artistes habités, déchirés par des mots qui transpirent en français. Habillées d’un électro-rock forgé dans les braises du blues, les chansons sont suspendues aux lèvres d’une poésie poignante, sincère et passionnée. Le duo prépare un nouvel EP prometteur, bande son d’un road movie solaire et tragique. On y croise aussi bien aussi bien Brel et Noir Désir que Rimbaud et Leo Férré. De Clermont-Fd au Zénith de Paris, Bertrand Cantat a laissé Belfour ouvrir ses concerts, immédiatement séduit par cette écriture fragile et urgente.

C’est avant tout un groupe d’artistes, un groupe de gens éveillés qui chemine hors du contexte sociétal.
Nous avons l’ambition, de par nos textes engagés, de pousser un maximum de personnes vers une prise de conscience collective.
Pour cela, nous jouons et chantons nos émotions, tout d’abord par plaisir et par conviction.
Le public réceptif à ce message nous à donné envie d’aller plus loin, et mener le peuple vers les techniques du savoir !!
Nous avons, tous au sein de notre groupe, la même vision d’évolution. Nous souhaitons, grâce à notre fougue, notre touffe musicale, rallumer la flamme d’espoir de chacun.
“ Tout reste à écrire car, dans ce monde trop est a refaire.”