Louise Jallu
Louise Jallu a commencé le bandonéon à cinq ans, à l’âge de treize ans, elle décidait que ce serait son compagnon de route.
Impossible d’évoquer le bandonéon sans penser à Astor Piazzolla ! Après s’être imprégnée de son œuvre, Louise Jallu la revisite de façon très personnelle. En associant le respect de la tradition à ce qu’elle appelle « l’état d’esprit de transgression », elle fait souffler un vent nouveau sur le tango qu’elle habille d’influences éclectiques. « Il y a là une part d’hommage, mais aussi d’irrévérence » confie-t-elle. Une autre façon de rester fidèle à l’esprit du maître qui n’a lui-même cessé de faire bouger les lignes.