THE SPACE TO BE

Bienvenue au cœur d’un répertoire de polyphonies traditionnelles de Géorgie. Samshabati est une formation constituée de 13 voix féminines. Cet ensemble a été créé en 2006 sous l’impulsion de Véronique Beaulaton qui, après un coup de cœur lors d’un stage de chant en Angleterre, emmène avec elle un petit groupe de chanteurs, d’abord mixte puis exclusivement de femmes, toutes profondément touchées par cette musique étonnante d’inspiration et de nostalgie.

Depuis quelques lustres, l’Auvergne est terre de folk et nous envoie régulièrement des artistes inspirés et libres comme By The Fall. Avec ses chansons funèbres et racées, ses lumières contrites, sa voix saisissante et ses mélodies à la Tom McRae, il instaure des climats à la fois désolés et ouverts, mais ses messages de deuil parviennent à faire espérer. Folk salutaire…

Comment se servir du rock pour faire vibrer la langue française, cette putain de langue française, si coquine à faire chanter, si littéraire ? Pour dépasser une simple juxtaposition et atteindre une belle coïncidence. Pour exprimer des émotions, pour caresser, pour agresser, pour gueuler, pour se confier, pour évoquer..
Chanteur à la poésie électrique, à l’écriture cinématographique, Sly de Bruix s’est entouré de trois musiciens pour arranger et servir des textes anomaux.Fred Girard, guitariste. Un coriace avec des oreilles grandes comme des plats à truites. Fin arrangeur, guitariste original. Il peut regarder 24 fois tous les films de cronenberg ou de cassavetes.Damien Chauvet, batteur. Un précis, nourri aux fermes mamelles du tambour classique. Il a étudié la musique, et en a conclu que le top, c’était les Pixies.François Saillard, bassiste. Un somnambule, avec un son rond comme une boule de démolition. Il aime danser et sa devise est : « Non ». Peut poser une basse reggae sur une chanson des Ramones.
Ces trois solides professionnels, et Sly de Bruix, tout le groupe, et tous les artistes invités à enrichir ce disque, ont donné le meilleur d’eux-mêmes pour créer une tuerie d’album de rock indépendant français : « Au-delà des Pistes »

Le duo pop’n folk a sorti en décembre 2015 son 1er album “Memories”, où se côtoient ballades mélodiques aux allures chaudes et murmurées et petits tubes disco-pop aux allures plus délurées.
Son vintage, harmonies de voix et instruments feutrés, sur scène, les 2 sœurs emportent le public dans leur univers classico-déjanté.

Des guitares folks, parfois électriques, des harmonies vocales au millimètre, les membres d’Aberdeeners ont trouvé dans leur rencontre la recette d’un retour aux origines de la musique pop.
Leurs chansons évoquant les Kinks et autres Beatles nous emmènent vers des contrées moins empruntées : on pense à Fanfarlo, Mumford & Sons, ou encore The Walkmen.

Ex-Gadwin, un des rares groupes français à avoir tenté l’aventure sur un gros label américain. Baltimore a visé l’excellence en enregistrant à Oxford avec Ian Davenport (Stereophonics, Supergrass, Band of Skulls, etc.) et en confiant le mastering à la star de la discipline, la New-Yorkaise Emily Lazar (un Grammy Award pour l’album “Wasting Light“ des Foo Fighters !). En attendant la sortie de l’album, ils ont choisi le Tremplin pour préparer le tout premier live.

Ils n’ont pas encore 20 ans et un talent insolent, quatuor juvénile Youth Disorder délivre un rock décomplexé, puissant et habité. Enfants des Arctic Monkeys, Queens Of the Stone Age ou Joy Division, leurs chansons à l’effrontée maturité entrelacent avec classe guitares millimétrées, section rythmique baraquée et chant irrésistible…